Pourquoi Scala ne m'a pas séduit...

Il y a quelques temps, j'écrivais une série d'articles sur Scala et la programmation fonctionnelle, en tant que débutant et pour partager ce que j'ai pu découvrir de ces concepts.

Même si l'aspect fonctionnel est intéressant, après plusieurs tentatives de m'y remettre, je dois avouer que je n'ai pas vraiment accroché. Et pour expliquer les raisons de mon changement d'avis, je m'en remets à ce post de Stephen Colebourne qui exprime plutôt clairement ce que j'ai ressenti. Si je devais en extraire les points les plus marquants :

By the way, if you're looking at Scala, you may come across conference presentations, blog posts and forums that show small snippets of code in Java and Scala and show how much less code you have to write in Scala, and how much simpler it appears to be. This is a clever trick. The real complexity occurs when you start mixing each of the seemingly simple features together in a large codebase, on a big team, over a period of time, where code is read far more than it is written. That is when you start to appreciate that some of Java's restrictions are there for a reason.
The language is a well-meaning attempt to create something with a higher abstraction level. But what got created is a language that has huge inherent complexity and doesn't really address the true issues that developers face today, yet is being pitched as being a suitable replacement for Java, something which I find to be bonkers.

Tout ca pour dire qu'au final, même si Scala m'avais semblé être une alternative séduisante à Java, le plongeon rapide dans un niveau de complexité élevée m'a quelque peu rebuté... Mon but n'était pas d'apprendre un nouveau langage, mais plutôt de trouver quelque chose de complémentaire à Java.

Comme "alternative/complément" à Java, je préfère Groovy. Comme "Java sugar", je préfère Xtend.


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